Comment la Cleantech participe à la dépollution de notre planète ? 🌎
+ découvre des startups de la Cleantech qui sont en levée ⬇️
💡 Bienvenue dans cette troisième édition de Pinchos par Bloomr !
La newsletter bi-mestrielle qui :
1. Défriche l’écosystème impact
2. Met en lumière des startups engagées en cours de levée de fonds
J’espère que ça vous plaira 😉
Temps de lecture : 15 minutes
Au programme :
Air, eau, sol : rien n’est épargné
Qu’est-ce qu’on doit dépolluer, et comment ?
Une opportunité de créer des solutions à fort impact
L’innovation au service de la dépollution
Notre sélection de Cleantech en levée
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Préambule : pourquoi traiter les trois sujets (eau, air et sol) ensemble ?
Car leurs enjeux et problématiques sont interconnectés. Par exemple :
Les précipitations (pluie, grêle, brouillard) sont contaminées par les polluants présents dans l’air et altèrent les cours d’eau et les sols
L’évaporation des polluants présents dans l’eau par l’effet du réchauffement climatique renforce la pollution de l’air et du sol
Disclaimer : Nous n’allons pas aborder le vaste sujet du CO2 (captage et séquestration) car il mérite une édition à part entière. D’ailleurs la géniale newsletter Le Plongeoir en parle dans sa dernière parution.
1. Air, eau, sol : rien n’est épargné
La CleanTech, c’est littéralement la contraction de “technologies” et “propres”: c’est-à-dire les technologies qui contribuent à la protection de l’environnement tout en minimisant leur impact à l’utilisation. On considère comme une “CleanTech”, une startup qui :
Optimise les ressources
Améliore les performances des technologies traditionnelles
Réduit le nombre de déchets et la pollution
Des fonds marin à l’Everest
La pollution va bien au-delà de ce que l'on peut voir. Elle englobe tous les déchets solides, les substances chimiques et les particules en suspension qui se glissent dans les sols, l'air et l'eau en raison des activités humaines.
Ces trois milieux sont contaminés par un ensemble de polluants très divers : métaux lourds, hydrocarbures, déchets plastiques, etc. À titre d’exemple, on a retrouvé des micro-plastiques dans une fosse sous-marine, à 11 000 mètres de profondeur, ainsi qu’à 8440 mètres d’altitude, au sommet de l’Everest.
Les effets pervers de la pollution sont nombreux et touchent aussi bien l’environnement que notre santé :
Préservation de la biodiversité : Le vivant se dégrade et meurt massivement en raison de la dégradation et l’eutrophisation* des milieux, de l’ingestion de plastique, ou encore des perturbateurs endocriniens. Chaque année, les activités humaines sont responsables du déversement de plus de 30 millions de tonnes de plastique dans l’eau.
*Eutrophisation : Apport excessif d'éléments nutritifs dans les eaux, entraînant une prolifération végétale, un appauvrissement en oxygène et un déséquilibre de l'écosystème.
Santé publique : maladies respiratoires et cardiaques, cancers, décès, perturbations endocriniennes :
Chaque année, 9 millions de décès sont liés à la pollution (16 % de l’ensemble des décès mondiaux), dont près de 7 millions en raison de la pollution de l’air (source),
La pollution atmosphérique représente la plus grande menace extérieure pour l'espérance de vie sur Terre,
9 personnes sur 10 respirent “un air contenant des niveaux élevés de polluants”,
Le respect du seuil d’exposition aux particules fines de l’ONU pourrait abaisser l’espérance de vie de 2,3 ans.
Dérèglement climatique : certains polluants de l’air, comme l’ozone et le CO2, sont des gaz à effet de serre.
Accès à l’eau potable : la pollution de l’eau rend difficile de la traiter pour la rendre potable : 2,1 milliards de personnes n’ont pas accès à de l’eau potable chez elles.
Sécurité alimentaire : artificialisation des sols, stérilisation des terres agricoles, dégradation de la qualité de l’eau et des sols : 52 % des terres utilisées pour l’agriculture sont modérément à gravement altérées.
Economiques : le coût de la pollution est très important sur les pouvoirs publics, les acteurs économiques et les rendements des agriculteurs en sont impactés.
D’après la Banque Mondiale, la pollution de l’air coûte 5 700 Md$ par an.
En Europe, les pertes de rendements se chiffrent à environ 3 milliards d’euros uniquement pour le blé.
Aïe le constat fait mal, maintenant qu’est-ce qu’on fait ?
2. Que faut-il dépolluer, et comment ?
Avant de dépolluer, il faut réaliser un diagnostic des milieux. Les polluants sont analysés en laboratoire et identifiés. Le diagnostic permet de trouver une solution de dépollution adéquate : chaque milieu et chaque polluant possède ses spécificités qui impliquent une prise en charge adaptée. Les techniques de dépollution sont donc très complémentaires, et pour assurer une dépollution optimale et ciblée, il est aussi nécessaire de combiner plusieurs méthodes : mécanique + biologique + physique.
Les solutions de diagnostic des milieux sont en général indépendantes des solutions de dépollution. Dans certains cas elles sont intégrées : l’entreprise de dépollution Biomède propose par exemple une solution de cartographie du sol en partenariat avec l’Agence Spatiale Européenne. Résultat ? Elle identifie les polluants à un coût 10x moins cher.
Comment fait-on pour dépolluer ?
(On y est, on rentre enfin dans le vif du sujet 🕵🏻 )
Dans cette partie, on va te présenter quelques techniques traditionnelles de dépollution, et leurs limites.
On te détaille plus bas les solutions novatrices ⬇️
Air 💨
L’air intérieur est 5 fois plus pollué que l’air extérieur :
Dépollution de l’air intérieur : les techniques traditionnelles sont les purificateurs d’air, les systèmes de ventilation/aération, et les générateurs d’ozone (molécule qui peut réagir avec certains polluants atmosphériques).
💡 La fausse bonne idée : L’ADEME a récemment averti sur les dangers de l’utilisation des purificateurs d’air par photocatalyse en intérieur. Certains catalyseurs sont potentiellement cancérigènes : ils enlèvent des polluants mais peuvent également en produire des secondaires quand les conditions ne sont pas optimales.
Dépollution de l’air extérieur : n’étant pas dans un espace clos et souffrant d’une diversité de polluants, c’est plus compliqué à dépolluer. C’est pourquoi, la plupart des solutions traditionnelles dépolluent à la source : fumées industrielles, pot d’échappement, etc.
Eau 💧
Selon sa provenance, l’eau n’est pas soumise aux mêmes polluants : eaux pluviales, eaux des égouts, effluents agricoles et industrielles et eau marine.
Dépollution des eaux usées :
Stations d’épuration qui utilisent une combinaison de processus biologiques, physiques et chimiques pour éliminer les contaminants. En amont, des dispositifs de dégrillage et de tamisage retiennent les déchets solides (déchets plastiques, branches).
Dépollution de l’eau marine : grâce à des bateaux de dépollution, filets et barrages flottants qui viennent nettoyer la surface des eaux en mer et des fleuves.
Dépollution des eaux pluviales : les laissées pour compte ... Au mieux, elles sont retenues temporairement dans des bassins de rétention qui réduisent la charge en contaminants.
Dépollution des effluents : également traitées par des bassins de rétention ou méthodes biologiques comme les lits bactériens.
Sol 🪨🌳
Les friches industrielles et les terres agricoles, par exemple, n’ont pas la même vocation et doivent donc être traitées en conséquence. Les techniques utilisées pour dépolluer les sols sont plus nombreuses. En voici quelques unes :
Le lavage du sol avec de l’eau sous haute pression pour séparer les particules fines dans lesquelles sont concentrés la majorité des polluants.
L’électro-dégradation : réactions chimiques produites par l’application d’un courant électrique au sol, qui décomposent les contaminants comme les hydrocarbures ou métaux lourds.
L’installation de barrières réactives dans le sol pour intercepter et traiter les contaminants qui se déplacent.
La dépollution physico-chimique : injection d’un liquide ou d’un gaz sous pression directement dans le terrain pour dissoudre les polluants.
La plupart de ces installations sont coûteuses en entretien 💰, très énergivores et peuvent déplacer le problème : par exemple les stations d’épuration françaises utilisent 30% plus d’énergie que les stations étrangères car nos normes imposent des niveaux de potabilité élevés. Autre exemple, le lavage du sol implique d’utiliser une très grande quantité d’eau bleue, alors même qu’on en manque par ailleurs.
De plus, ces solutions peuvent impliquer le recours à des produits physico-chimiques : pas top pour la santé des travailleurs qui les utilisent !
Il y a donc un besoin criant de nouvelles solutions de dépollution, on va les découvrir plus bas ⬇️ ⬇️
3. Une opportunité de créer des solutions à fort impact
Un marché mature
Quelques chiffres au niveau mondial :
185 Md$ en 2021 pour le traitement de l’eau
17 Md$ pour la dépollution de l’air en 2023 avec une projection de 26 Md$ en 2026
En France, 51,5 Md€ sont consacrés à la protection de l’environnement, répartis de la façon suivante :
Dans la cour des grands !
Les solutions de dépollution existent depuis les années 50-60, les premières initiatives ont souvent été déclenchées par des catastrophes environnementales comme la marée noire du Torrey Canyon en 1967.
Les acteurs historiques du secteur de la dépollution sont principalement des grandes entreprises du BTP, des groupes des services environnementaux ou de l’énergie directement confrontés à la problématique. En France il y a par exemple : Veolia Environnement, Suez et TotalEnergies.
Avec le temps, des spécialistes de la dépollution ont émergé, et ont réussi à prendre une place importante, tels que :
Valgo : entreprise française spécialisée dans la dépollution des sites et sols pollués depuis 2004
Syntea : spécialiste français du traitement et de la réutilisation des eaux usées depuis 1998.
BlueSet : spécialiste français de la phytoremédiation de l’eau, des sols et de l’air depuis 2009.
Depuis 1992, il existe une Union des Professionnels de la Dépollution des Sites (UPDS) qui a vocation à gérer les risques sanitaires et financiers des sites et sols pollués. Ses 54 entreprises adhérentes ont réalisé un chiffre d’affaires de 514 M€ en 2022.
La tragédie des communs
Pollueur-Payeur ? Bénéficiaire-Payeur ? Argent du contribuable ? Tout le monde surexploite mais personne ne veut payer les conséquences !
La répartition des coûts revêt une importance cruciale dans l’économie de la dépollution.
Les agences nationales et régionales dédiées à la protection de l’environnement (ADEME, ARTE, ARBE, etc.) jouent un rôle central dans le financement des projets de dépollution et gèrent les budgets dédiés à la transition écologique.
Légalement, qui prend les décisions ?
Dépollution des sols 🪨 🌳 : Le préfet.
Dépollution de l’💨 : Les autorités publiques, en particulier les collectivités territoriales.
Dépollution de l’💧 : Les six agences de l'eau, l’Agence régionale de la santé, les collectivités territoriales et les opérateurs de services d'eau.
Les coûts associés peuvent être supportés par les autorités locales, les collectivités territoriales, et parfois par les pollueurs eux-mêmes, suivant le principe du "Pollueur-Payeur".
Que dit la réglementation?
Longtemps exclu des débats publics, aujourd’hui les choses bougent :
La loi Barnier (1995) : Instauration du principe du pollueur-payeur qui implique que les responsables de la pollution sont tenus financièrement responsables des actions de dépollution.
Loi Alu (2014) : Création du statut de Tiers demandeur afin d’améliorer l'efficacité de la dépollution régulière des sites et sols contaminé.
Le Plan Eau (2023) : Série de mesures visant à améliorer notre gestion de l’eau avec un objectif de réutilisation de 10% des eaux usées.
💡 En France, moins de 1% des eaux usées est réutilisée, contre 15% en Espagne et 85% en Israël (source). Si nos voisins en sont capables, ce n’est donc pas la mer à boire…
Encore beaucoup de chemin à faire
En agriculture, il n’existe pas de normes pour mesurer les sols et donc il est possible de cultiver sur un sol pollué 😱
L’équilibre entre l’importance de la dépollution et sur qui doit reposer son coût est un sujet très sensible et polémique 🚜
En France les normes de l’eau sont particulièrement élevées, même pour des applications non-potables ce qui rend la réutilisation des eaux usées complexe. Pourtant, cela permettrait de réduire la pression sur les ressources en eau douce.
Le réseau d’eau pluvial reste très peu pris en compte par la réglementation, un flou juridique ?
4. L’innovation au service de la dépollution
Les solutions
Depuis quelques années, la CleanTech, re-dynamise le marché :
Elle propose des solutions plus efficaces, moins coûteuses et meilleures pour l’environnement
Historiquement réservé aux grandes entreprises, une multitude d’acteurs émerge !
La motivation aujourd’hui n’est plus qu’économique, on se préoccupe de le santé et de notre planète 🌎
On retrouve deux catégories de solutions, voyons quelques exemples de startups :
Les technologies basées sur le biomimétisme :
Neoplants ⎜20 M€ de levée ⎜dépollution de l’air extérieur grâce à des plantes génétiquement modifiées ⎜Plantes biotechnologiques
Biomède⎜2 M€ de levée ⎜semences sur mesure obtenues à partir d’espèces végétales croisées pour dépolluer les sols⎜Photoextraction
Bambou for Life⎜ 2 M€ de levée ⎜station d’épuration végétale à base de bambou ⎜Phytorémédiation
Azuvia ⎜ 750 k€ de levée ⎜solution d’épuration des effluents industriels et agricoles par serre filtrante ⎜Plantes et microorganismes
Adequabio ⎜ 300 k€ de levée ⎜dépollution des effluents agricoles ⎜bactéries photosynthétiques
Les nouvelles techniques de dépollution s’inspirent beaucoup de la nature : les écosystèmes possèdent des propriétés dépolluantes extraordinaires. Lorsque les polluants sont présents en trop grandes quantités, la Cleantech n’a d’autres choix qu’ intervenir.
D’autres solutions technologiques permettent également de dépolluer :
Vertuoso ⎜pas de levée⎜ solutions de filtration du réseau pluvial à l’entrée (avaloir) et à la sortie (exutoire)
V20 Marine ⎜ en cours de levée⎜ entonnoir et filet anti-pollution tractés captant les polluants (plastiques, hydrocarbures et algues)
Aérophile ⎜ 11 M€ de levée (2023)⎜premier système de dépollution de l’air (particules fines) à grande échelle par ballon captif
Iadys ⎜ 1,57 M€ levés (2021) & en cours de levée⎜ produits à la croisée entre robotique et intelligence artificielle qui collecte les déchets flottants et les hydrocarbures à la surface de l'eau
Des initiatives dédiées qui viennent encourager ces héros sans-capes 💪
Crédit Agricole Alpes Provence et La FrenchTech Aix Marseille - L'innovation au service de la dépollution : appel à projet lancé en fin 2023, qui était dédié aux innovations du secteur (75k€ - 3 startups lauréates)
ADEME - Innov Eau : appel à projet qui vise à soutenir les innovations dans la filière de l’eau (enveloppe de 100 millions d’euros) - Candidature possible jusqu’au 8 avril 2024
Le salon Pollutec : organisé en France et en Algérie, il favorise les échanges et les partenariats internationaux entre acteurs de la dépollution.
Ce qui est certain, c’est que la CleanTech est de plus en plus sous le feu des projecteurs ! Même Tony Parker s’y intéresse 🏀 La semaine dernière, l’émission “Qui veut être mon associé ?” a consacré une édition spéciale aux solutions environnementales.
5. Notre sélection de cleantech en levée
Dans cette troisième édition de Pinchos, nous vous présentons 4 pépites en cours de levée de fonds. Si l’une d’entre elles vous tape dans l’œil, n’hésitez pas à la contacter. Pour rappel, les KPIs sont partagés uniquement avec notre communauté d’investisseurs privilégiés, si vous souhaitez en faire partie, contactez-nous 💌.
Activité : V20 Marine commercialise deux solutions brevetées sur-mesure qui permettent de récupérer plastiques, hydrocarbures et algues dans les ports, les rivières, les zones proche littoral et en haute mer, jusqu’à 1,2m de houle et 30+ nœuds de vent.
Le MPS (Marine Pollution Solution) est un entonnoir qui permet de ratisser 100 000 m² par heure et est mobilisable en quelques minutes.
Les filets Poséidon ultra-résistants peuvent être utilisés avec le MPS ou seuls, et s’adaptent aux besoins des clients tout en alliant efficacité, durabilité et praticticité.
Ces solutions sont tractées par tout type de navire jusqu’au zodiac, et tous les produits sont 100% fabriqués en France.
Business model : XXXXXXXXXDate de création : septembre 2021Montant de la levée visée : XXXXXXXXXODD auquel vient répondre la startup :
Objectif 14 - Vie aquatique
KPIs financiers : XXXXXXXXXKPIs impact : XXXXXXXXXContact : XXXXXXXXX
Activité : I Clean My Sea propose des services de gestion des déchets flottants pour les collectivités. Son offre se décline en 2 étapes :
Détection des déchets et de leur trajectoire, via 2 applications : une à destination des particuliers pour avertir de la présence d’un déchet, et une autre qui permet de déterminer la zone du déchet et sa trajectoire pour les acteurs de la collecte
Collecte et tri des déchets grâce à son navire de petite taille conçu pour la collecte des déchets flottants de 0.5 à 5cm de diamètre
Business model : XXXXXXXXXDate de création : mars 2019Montant de la levée visée : XXXXXXXXXODD auquel vient répondre la startup :
Objectif 14 - Vie aquatique
KPIs financiers : XXXXXXXXXKPIs impact : XXXXXXXXXContact : XXXXXXXXX
Activité : Biomede cartographie et retire naturellement les polluants des sols en utilisant des plantes dites hyperaccumulatrices. Elle commercialise des semences de plantes extractrices du cuivre et des métaux lourds.
Elle a notamment été nommée Pépite France agriculture innovante, et lauréat de Nourrir le futur d'In Vivo et de Natur'tech Givaudan.
Business model : XXXXXXXXXDate de création : mars 2018Montant de la levée visée : XXXXXXXXXODD auquel vient répondre la startup :
Objectif 3 - Bonne santé et bien être
Objectif 12 - Consommation et production durable
Objectif 15 - Vie terrestre
KPIs financiers : XXXXXXXXXKPIs impact : XXXXXXXXXContact : XXXXXXXXX
Activité : IADYS est une entreprise de robotique et d'intelligence artificielle au service de l'environnement. Ses produits robotisés permettent de collecter les déchets flottants et les hydrocarbures à la surface de l'eau, de protéger la biodiversité et de garantir aux utilisateurs des interventions sécurisées. Après une première levée de fonds (1,5M€) en 2021, IADYS lance en 2024 une nouvelle levée pour accélérer son développement à l'international.
Business model : XXXXXXXXXDate de création : septembre 2016Montant de la levée visée : XXXXXXXXXODD auquel vient répondre la startup :
Objectif 3 - Bonne santé et bien être
Objectif 6 - Eau propre et assainissement
Objectif 14 - Vie aquatique
KPIs financiers : XXXXXXXXXKPIs impact : XXXXXXXXXContact : XXXXXXXXX
Merci d'avoir lu cette troisième édition de Pinchos. Si vous avez des questions, des commentaires ou si vous souhaitez en savoir plus sur Bloomr, contactez-nous ! Si cela vous a plu, n’hésitez pas à repartager l’étude autour de vous.
À la prochaine dans votre boîte mail 💌
Un grand merci à toutes les startups qui ont participé à cette étude à savoir : Rémi de V20 Marine, Ludovic de Biomede, Benjamin de Vertuoso, Tristan de Azuvia, Camille de Adequabio, Pauline de IADYS et Aymeric Jouon d'I Clean My Sea.
Sam et Angé💜
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